bon, voici la suite et fin !
Ton boxer n'est qu'au dessus de tes genoux... Mais... Bon, je l'enlève.
Te replie pas comme ça, comment tu veux que je te contemple sinon hein ?
Attends trente secondes, dès que je serais nu, tu n'auras plus beaucoup à souffrir. Je suis même sûr que ça va finir par te plaire.
Non ? Jamais ? Tant pis, ça va rester mon jeu. J'avais cru que tu t'amuserais avec moi dommage.
Voilà, tu vois, rien que pour toi, je n'ai pas mis de sous-vêtements.
Même avec tes stimulations j'ai jamais été comme ça hein ?
Ca te plaît on dirait.
Ha ha, j'ai envie de tenter quelque chose.
Me regarde pas comme ça. D'abord, je m'installe à nouveau sur tes jambes. Il reste encore des glaçons ! Quel économe !
Assis sur tes jambes, un bol pleins de glaçons dans les mains, tu es nu, qu'est-ce que je peux faire ?
Réponds.
Exactement ! Tu n'aimes pas la fraîcheur hein ? Moi j'adore. Il reste assez de glaçons pour... Allez, juste avec ce qui a fondu, je trempe mes doigts.
Pas de pitié.
Si je les posent juste là, sur ton antre... Tu frémis !
Je veux que tu gémisses Jay, tu l'as oublié? Cette douce mélodie.
Et si je les mets ici, sur ton intimité.
Tu tremble seulement, ils sont déjà redevenus chaud. Je vais faire plus simple.
Il me reste trois glaçons, un dans ma bouche, les deux autres je les laissent fondre.
C'est quoi ce regard suppliant ? On dirait le chat Potté dans Shrek ! C'est pathétique !
Plus je baisse mon visage vers ton sexe, plus le tiens se redresse. C'est amusant.
Je vais encore imprégner mes doigts de l'eau fraîche pour les poser... Sur ton nombril !
Ha ha, et là ta tête part en arrière ! Qu'est-ce que ça va être quand j'aurais touché ton gland avec ce glaçon qui traîne dans ma bouche ?
Enfin ! Tu gémis. J'aime mieux entendre ça.
Assez, c'était l'instant plaisir.
Oui, deux minutes de plaisirs, trente de torture !
Je plaisante ? Euh... Je ne sais pas trop, j'hésite, peut-être pas autant.
Tu sais ce que je vais faire ? Je vais t'attacher les pieds aussi, je serais plus libre de mes mouvements, j'aurais pas à m'asseoir sur tes cuisses squelettiques !
Oui ! Squelettiques. Ta célébrité te monte à la tête, tu me gonfle à plus manger autant qu'avant ! Je préférais quand tu avais des joues rondes et agréables au touché ! Regardes-toi... Tu es maigre... Tu deviens comme une des pouffes avec qui tu as tourné. Comment elle s'appelle déjà ?
Lohan, c'est ça. Tu peux pas savoir à quel point je regrette l'époque où tu avais tes quelques rondeurs.
C'est du passé. Je vais chercher quelque chose pour t'attacher.
Pas crier, pas bouger !
Je me souviens avoir vu de la corde dans la cave... Ou c'était dans le grenier ? Plutôt dans le grenier en fait. La dernière fois que je l'ai vu... Oui ! Je cherchais un album photo.
Je savais qu'elle était là !
Pourquoi on a de la corde à la maison... Bah, peu importe.
Me revoilà ! Hum, mais quelle beauté, tu sais que même si tu es aussi mince, te voir allongé comme ça, sur le lit, ça me fait quelque chose !
Chui bête, tu le vois hein ?
Voilà, le pied gauche est attaché, le droit aussi !
T'as des fourmis dans les bras ? Et alors ?
Ah zut, j'ai pas été très malin... Tu peux écarter tes jambes ?
Ca suffira largement.
Et puis non, je vais l'attacher plus loin ta jambe.
Voilà
La glace a presque totalement fondue. Voilà ce que je vais faire.
Attend, tu sais, j'ai une chanson dans la tête, je sais que toi aussi tu l'apprécies.
Tu te souviens de Space Monkey ?
We’re sown together, she’s born to mesmer, Beside astride her, I die inside her, It’s far too sacred, don’t ever fake it, And don’t, and don’t, and don’t let me down, Like you let me down before...A la différence près que tu n'es pas une fille.
Ca dépend des jours quand même.
Reprenons ! Quelques gouttes ici, sur chacun de tes tétons.
Ma main est très froide... Là, c'est le moment pour te prendre !
Tu préfères haleter plutôt que de gémir ?
Et si je te pénètre sans aucun préliminaire ? Tu vas hurler ?
Tu ne veux pas ? Moi si.
Je veux t'entendre crier Jared, je veux que tu me supplies d'arrêter ! Tu l'entends ça ?
Je te pénètre tellement vite et fort que ta tête cogne contre les barreaux du haut du lit !
Tu pousse un cri à chacun de mes coups....
Tu murmure... Me demande dans un son à peine audible d'arrêter.
Je t'ai dis de me supplier, tu n'as pas compris ?
Supplie-moi ! Demandes-moi pardon pour tout ce que tu as fait !
Tu pleurs ?
Je ne t'ai pas demandé de pleurer !
Tu tente de parler, tu tente !
Bien, c'est toujours ça, je ralentis.
Demandes-moi pardon Jared et je m'arrête totalement.
Je n'ai pas bien entendu ?
Dis-le plus fort !
Encore une fois !
Jures-moi que tu n'iras plus le voir ou tu sais ce que je ferais !
Redis-le.
Encore...
Je t'aime Jared, c'est pour ça que je te fais ça, tu le sais hein.
Tu le sais hein ?
Je peux te détacher maintenant. J'ai eu ce que je voulais.
Hey, me serre pas comme ça dans tes bras, tu vas m'étouffer.
Arrêtes de pleurer.
Non, je ne te soulagerais pas ce soir, tu le feras tout seul comme tu le fais si souvent.
Même pas la peine de me lancer ton p'tit regard suppliant.
Même avec tes semblants de larmes ça marchera pas.
Je vais me doucher.
Salle de bain... Douche... Non, baignoire. Un vrai bain, chaud. Ne pas oublier de refermer la porte à clé. Hors de question qu'il vienne me déranger.
J'ai eu ce que je voulais... Il m'a demandé pardon. Je ne me sens pas mieux pour autant.
Je vais... Me laisser couler. Il pourra pas entrer ici, et puis, ça le gênerais pas de me voir comme ça.
Mort.
Oui...
Qu'est-ce que ?! Il vient faire quoi ici !
Arrête, vas-t-en ! Je sais me laver tout seul !
Comment ça tu veux prendre ton bain avec moi... N'importe quoi. Casses-toi j'ai dis !
Oui, je t'ai pardonné ! Mais je ne me suis pas excusé pour ça et je le ferais jamais !
Quoi ? T'as pas besoin de ça ? Ta gueule, va... Chai pas, fais autre chose, laisse-moi.
J'espère qu'il s'est tiré.
Un, deux, trois, le sous-marin descend.
Il frappe encore à la porte, casses-toi j'ai dis...
Quatre, cinq, six, les vannes sont bloquées, plus aucun moyen de remonter.
Il tambourine la porte, quand est-ce qu'il va me laisser ?
Sept, huit, neuf, premières fuites dans les calles.
Jared, vas-t-en, j'ai pas besoin que tu sois là, n'entres pas.
Dix, onze, douze, la pression de l'eau augmente.
Il continue de frapper à la porte, mais quelle teigne.
Treize, quatorze, quinze, l'eau engloutit la majeure partie du bâtiment.
Qu'est-ce qu'il hurle derrière la porte ?
Seize, dix-sept, dix-huit, aucun survivant à bord.
Il est enfin partit...