Journée dans la vie d'un vampire [pwp]

Pairing : Gerard Way/Frank Iero
Genre : PWP
Alerte : Slash, pwp, et comme l'indique le titre, c'est une histoire de vampire.
Résumé : Frank nous raconte un moment de sa journée de vampire au côté de son géniteur : Gerard.
Droit d'auteur : cette histoire sort de mon cerveau tordu, ses hommes sont à eux-même, je ne suis pas Frank x) et donc je ne raconte pas la vérité !

Je ne suis qu'un pion parmi le grand échiquier de la vie, une fourmi dans toute une colonie, un être vivant parmi tant d'autre. Un vampire parmi des milliers d'autres sur Terre... une chose infime, mais qui a tellement d'importance.

Mon nom est Frank.

C'est un prénom plutôt rare dans notre époque. Je ne saurais pas la situer, mais je n'ai jamais entendu ce prénom autre part.
Mon géniteur, celui qui a décidé de m'emmener dans le monde des ténèbres, m'a donné ce nom.
Il n'a pas voulu me dire pourquoi. Il ne me le dira certainement jamais. Mais ça me plaît.

Cet homme, plutôt, ce vampire, se nomme Gerard. Un grand brun aux yeux noisettes.
Il est mon père...
Ma mère...
Mon amant.
C'est pour cette unique raison que je suis à ses côtés. Il prétend que je lui offre un plaisir inégalable.

On s'est connu lorsque...
Non. En vérité, il m'a suivit. Il me l'a avoué après m'avoir mordu. Il me voulait, moi, et personne d'autre.
Mon visage d'ange et mes yeux noisettes, c'est tout ce qu'il a vu, d'après ses dires.
C'est lors de sa morsure qu'il a lu toutes mes pensées, drainé tous mes souvenirs, tué mon ancienne vie pour m'en offrir une nouvelle.
Il ne m'a pas laissé de choix.
Il prend toujours un malin plaisir à dire que, lui, avait décidé d'être ce que nous sommes.
Je ne l'ai jamais demandé.
Je ne l'ai jamais regretté.

Comme tous vampires, nous avons notre repère.
Le jour, vous nous trouverez au cimetière. Le lieu précis de notre taverne, je le garderais secret.
Je ne tiens pas à avoir de visites. Gee ne les apprécie pas non plus.
Le soir, prenez garde. Nous sommes nulle part et partout à la fois. Devant chez vous. Dans une ruelle. Dans votre jardin ou même votre chambre.
Nous sommes considérés par les humains comme des meurtriers sanguinaires.
Mais après tout, nous ne faisons que nous nourrir.
Si à chaque infime morceau de viande que vous avalez, on vous traitez de meurtrier, l'accepteriez-vous ?
Bien sûr que non.
Gerard non plus.
Ce qu'il désir par dessus tout, c'est connaître, apprendre, savoir tout ce que l'on peut sur notre race.
Il ne veut pas me dire pour quelle raison obscure il s'acharne à ça.
Je finis par m'y faire.
Mais je sais que cela fait des centaines d'années qu'il y travaille.
Il voulait un partenaire.
Il m'a trouvé.
Il m'a transformé.
Je ne suis plus celui que j'étais auparavant.
Je ne suis plus le jeune homme frêle et timide, s'inquiétant de tout et de rien.
Je suis le vampire qui terrorise les Hommes par sa simple présence.
Il me suffit de montrer mes crocs, et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, il n'y a plus rien ni personne à des mètres à la ronde.
Cependant, comme tous vampires, je suis capable de faire un des rêves que chaque être humain fait : je vole.
Hélas, pas à l'aide d'une magnifique paire d'ailes.
J'aurais aimé que ce soit le cas. Mais on ne peut pas tout avoir.

Ce soir encore, Gee et moi rentrons de notre escapade nocturne. Le soleil ne va pas tarder à se montrer.
Je m'installe dans le coin gauche de notre taverne, comme je le fais si souvent et me laisse glisser le long de la paroi.
Je suis repu.
Ça faisait plusieurs mois que je n'avais pas eu de repas aussi exquis.
Un homme. Bourgeois de surcroît. Et très jeune, comme je les aimes.
Je n'ai pas pu résister à une jeune gothique qui n'attendait que moi.
Ou quelque chose ressemblant à un vampire.
Elle voulait devenir comme nous.
Je me suis amusé à l'écouter imaginer ce que c'était.
Une paire de canine dans son cou.
Se faire mordre.
Le sang quitter ses veines.
Ressentir la mort prendre son corps.
Lorsqu'elle eut terminé son discours, je lui ais joué la carte du séducteur.
Un vrai cliché, mais il me plaît.
Sentir son odeur.
Embrasser sa nuque.
Frôler son menton.
Poser mes lèvres sur les siennes.
Rencontrer sa langue.
Visiter sa bouche.
La faire frémir d'impatience.
Promener mes lèvres sur sa jugulaire.
Prendre une grande inspiration pour permettre à mes canines de pousser.
Les planter.
Aspirer son sang goulûment.
Ne pas laisser une seule goutte m'échapper.
L'écouter gémir...
Voilà mon plaisir.
La laisser lourdement retomber sur le sol.
L'abandonner au seuil de la mort.
La légende du "boire la dernière goutte de sang est mortel" est fausse.
Mais j'aime voir mes proies agoniser.

J'ai dis que Gerard n'était pas un vampire sanguinaire, moi je le suis.
Mais c'est toujours lui qui me maîtrise.
C'est toujours lui qui prend le dessus sur moi.
C'est toujours lui qui m'embrasse le premier.
C'est toujours lui qui me fait l'amour dans cette taverne...

Je sais que ce soir il va réitérer.
Comme un leitmotiv.
Je lui appartiens.
Corps et âme.
Je suis son fils.
Sa progéniture.
Sa création.
Son jouet.
Son amant.
Et il me le montre chaque jour.

Aujourd'hui n'échappe pas à la règle.
Il s'approche de moi, et plante son regard brun dans le mien.
Sa main droite plonge sous ma nuque et me redresse. Avec une véritable tendresse, ses lèvres rencontrent les miennes.
Sa bouche à toujours le goût de sa précédente victime. Il aime me faire partager ce qu'il a dîné.
Avec ces quelques gouttes de sang, je sais qu'il a mordu un homme d'un âge plutôt très avancé. Qu'il l'a tué parce qu'il lui avait demandé.
Gerard est bien trop aimable.
Est-ce que les boeufs ou les poissons dont les Hommes se nourrissent sont consentent de leurs morts ?
Non ! Alors pourquoi continue-t-il à demander la permission de mordre !

-Calmes-toi, chacun à sa méthode, Frank. Je te l'ai déjà dit.

J'oublie tout le temps qu'il voit dans mon esprit comme dans un livre ouvert.
Je suis né de sa morsure, il sait tout de moi. Il voit tout de moi.
Et par moment, ça me répugne que ce ne soit pas réciproque.

-Je le sais. Mais évite de me faire partager ce sang. Tu sais que je préfère ceux de véritables victimes, celles qui ne demandent rien à personne !
-Pourtant tu as bien tué une gothique tout à l'heure... Elle te plaisait tant que ça ?
-Qu'est-ce que ça peut bien te faire ?

Il me fait son sourire purement ironique et me pousse contre la paroi.
Il promène ses lèvres sur ma nuque et les remontent au niveau de mon oreille droite.
Il lèche le lobe tout en me caressant le ventre de ses mains expertes.
Il fait glisser le tissu de mon t-shirt et s'éloigne de moi pour l'enlever.
Ses doigts se promènent dans mon dos avec légèreté.
Ils les passent sur mes reins. Ses ongles s'enfoncent dans ma peau.
Il me griffe sur plusieurs centimètres pour faire perler quelques gouttes de mon repas du jour.
Je me retiens de crier, je sais que ça lui ferait bien trop plaisir.
Je me mords la lèvre inférieure.
Il me regarde, toujours avec son sourire et me fait avancer dans la pièce.
Il fait descendre mon jean et me fait retourner, avec douceur et fermeté.
Il se met à embrasser ma nuque.
Ses mains continuent de se promener sur moi.
Elles redessinent les contours de mes abdominaux, s'insinuent dans mon nombril, descendent frôler mon bas ventre pour remonter brusquement caresser mon cou.
Il fait tourner ma tête vers la droite.
De son bras gauche il me tient et me sert contre lui.
Je sens son souffle tout contre ma nuque offerte.
Je sens ses canines la toucher. Elles exercent une pression avant de s'enfoncer en moi.
Mes propres canines s'agrandissent sous l'effet du plaisir et se plantent dans ma lèvre inférieure.
Je me cambre violemment lorsqu'il se met à aspirer mon sang.
Ou plutôt, celui de mon repas.
C'est une sensation tellement intense et unique.
Lorsqu'il m'a volé ma vie, je souffrais d'une telle morsure.
Maintenant que je suis un vampire, cette même morsure m'apporte un plaisir insoutenable.
Au point qu'il a aussi éveillé ma virilité...
Je veux pourtant qu'il arrête.
S'il continue, il serait capable de me faire jouir sans même m'avoir réellement touché.
Il risquerait surtout de m'affaiblir si je n'ai plus rien dans mes veines pour tenir la journée.
Il est vrai que le jour on dort. Mais je ne tiens pas à avoir un sommeil troublé par ma faim.
Par ma soif de sang.
Il retire ses crocs de ma peau en prenant une grande inspiration près de mon oreille.
Il repasse devant moi.
Il me regarde dans les yeux.
Je desserre la pression de mes canines sur ma lèvre.
Quelques gouttes de sang perlent.
Il lèche ses lèvres qui étaient jusque là encore rougie par mon propre sang.
Il se rapproche de moi pour à présent lécher mon menton.

-Tout ça pour ne pas montrer que ça te plaît... Vraiment Frank, par moment, tu me déçois beaucoup.

Je n'ai pas besoin de répondre à ce qu'il me dit.
Je n'en ai pas envie en vérité.
Ce serait lui faire à nouveau plaisir.

-Tu pourrais quand même faire un effort. À moins que tu ne préfères me faire à nouveau partager le sang de tes victimes ?

Je caresse les fines plaies sur mes reins qui n'ont pas encore cicatrisées à cause de l'intervention de Gerard.
Il me demande en me regardant droit dans les yeux si je souhaite qu'il s'en occupe.
Je détourne mon regard.
Je meurs d'envie qu'il le fasse, comme il le fait toujours.
Il retourne dans mon dos et le caresse.
Il exerce une pression plus grande sur mes reins, ce qui me fait grimacer.
Il se met à genoux et commence à me lécher pour essuyer mes plaies afin de les aider à cicatriser plus vite.
Je ressens parfaitement sa langue passer dans les léger creux causés par ses ongles.
Je ressens tout aussi bien le sillon se refermer après son passage.
...

Je mets la suite d'u coup prce qu'un pwppas entier c'est pas drôle x)
...

Il passe à présent sa bouche sur ma colonne vertébrale et remonte jusqu'à la base de ma nuque.
Je me retourne pour lui faire face.
Il prend à nouveau possession de mes lèvres.
Sa langue à le goût du sang que j'ai avalé dans la soirée.
Ses mains descendent jusqu'à la lanière de mon boxer.
Il passe ses mains sous le tissu pour caresser mes fesses.
Par télépathie, il me demande de le débarrasser de ses vêtements.
Je sourie contre ses lèvres et m'exécute.
Un bouton, deux, trois, puis tous les autres de sa chemise sautent.
Je promène mes mains sur son torse si parfait.
Je titille ses boutons de chairs du bout de mes doigts.
J'abandonne ses lèvres et me perd dans son cou.
J'ai soif.
Soif de son sang.
Soif du sang qui coule dans ses veines.
Le sang qu'il m'a volé quelques minutes auparavant.
Je respire son odeur.
Mes canines n'ont pas reprit leurs tailles initiales.
Elles ne les reprendront pas, tant que je n'aurais pas jouis.
Du bout de mes lèvres, je cherche le meilleur endroit pour le mordre, même s'il me suffit d'un simple coup d'oeil.
Une fois l'endroit parfait trouvé, je plante enfin mes crocs en lui.
Il pousse un léger cri de plaisir.
Allons, calmes-toi, je n'ai même pas commencé à le boire.

-Ne fais pas ton malin, Frank... Vas-y, maintenant.

Il ordonne, j'obéis.
Je commence à aspirer le liquide rouge.
À son tour, son corps se réveille.
Le mien subit encore quelques griffures.
Mais elles cicatrisent bien plus vite, maintenant que je suis en train de me nourrir.

-Ca suffit maintenant.

Il a toujours le chic pour me le demander gentiment.
Je retire mes canines de son cou.
Il me regarde intensément.
Il fait un mouvement bien trop rapide, mais je le perçois un minimum.
Pas assez pour l'empêcher de le faire.
En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, il me fait trébucher en arrière.
Je me retrouve plutôt violemment au sol.
Il me rejoint tout aussi vite et embrasse ma pomme d'Adam.
Il se relève rapidement et déboutonne son jean puis le fait glisser jusqu'à ses pieds.
Il lévite pour l'enlever.
Je n'ai pas bougé.
Il retire à présent son boxer.
Il pose ses pieds de chaque côté de mon bassin et se laisse lentement tomber à genoux.
De ses mains, il emprisonne les miennes au dessus de ma tête.
Je ne comprends pas pourquoi il fait ça...
Je ne me défends jamais.
Je ne le ferais jamais.
J'aime beaucoup trop ce qu'il me fait.
Je ne pourrais pas l'en empêcher.

-Je le sais, mais c'est comme ci tu me demandais de ne plus boire de sang.

Il sourit et se penche jusqu'à mes lèvres qu'il capture entre les siennes.
Je caresse ses canines de ma langue.
C'est une pratique étrange, mais elle m'amuse.
Une dent reste une dent, mais celles-ci sont plus longues...
Plus longues à visiter, plus longues à satisfaire.
Je sais que ça lui plaît.
L'avantage lorsque je fais ça, c'est que je retrouve à nouveau quelques gouttes de sang.
Vraiment très peu, mais c'est toujours suffisant.
Sa langue vient à la rencontre de la mienne.
S'en suit une étrange danse.

Mon membre devient très à l'étroit sous son morceau de tissus.
Gee le sait, mais il n'en a cure.
Il est libre de ses mouvements.
Il est le dominant.

Sa main droite relâche mes poignets, mais ils sont toujours maintenus par la gauche.
Elle descend progressivement et très rapidement vers mon bas ventre.
Ses doigts se glissent sous mon boxer et caressent le bout déjà humide de ma virilité.
Je laisse un gémissement s'échapper.
Gerard sourit en se séparant de mes lèvres.
Il se redresse et lâche mes poignets.
Il libère enfin mon sexe de cette prison pour le prendre en main.
Il entame un très, très lent mouvement de vas et viens.
Je me surprends à gémir de plus belle, ce qui le fait légèrement rire.

-Plus vite... Je t'en supplie...

Il me fait un signe négatif de la main gauche.
Je suis le dominé.
Je n'ai rien à dire.
Il semble satisfait du fait que j'ai compris mon statut.
Il se penche en avant jusqu'à ce que ses lèvres entrent en contact avec mon pieu de chair.
Mon corps s'arque violemment sous le coup du plaisir.
J'avais déjà oublié à quel point cette caresse est délicieuse...
Même si la dernière remonte à hier.
Ses mouvements sont toujours aussi lents.
Une véritable torture...
Libères-moi...
Il se relève soudainement et me fait pousser un grognement de frustration.
Il est debout et me fait signe de m'asseoir.
Chose que je fais sans réfléchir.
Je me retrouve nez à nez avec sa virilité.
Il n'a pas besoin de me dire ce qu'il veut.
Je le caresse lentement, du bout des doigts.
Il frémit.
Sa main droite vient se poser derrière ma nuque.
Il me pousse à le prendre maintenant.
Si c'est ce qu'il désire.
Je donne un léger coup de langue sur son extrémité.
Un deuxième, puis un troisième.
J'y dépose enfin mes lèvres.
Je l'entends pousser un gémissement.
Je me mets à aspirer son gland, à le lécher, sans chercher à aller plus loin pour le moment.
Mais je sens qu'il s'impatiente.
Il voit que je suis prêt et c'est lui qui pousse ma tête pour le prendre entièrement.
Son membre bute contre ma gorge.
Sa main caresse mes cheveux.
Je commence à faire de légers allés retours.
Ses gémissements se font plus fort.
Je sens qu'il ne va pas tarder à jouir.
J'accélère mes mouvements.
Mais il me repousse à un moment.

-Lèves-toi.

Je m'exécute.
Il pose furtivement ses lèvres sur les miennes.
Il me fait me retourner.
Son bras gauche me ceint contre lui.
Je m'agrippe à lui.
Sa main droite dirige son sexe vers mon antre.
Machinalement, je penche ma tête sur la droite.
Il me mord directement sans prendre le temps de m'y préparer réellement en même temps qu'il me pénètre.
Une vague de plaisir intense m'envahit.
C'est bien plus que du plaisir.
J'hurle sous la surprise de la sensation et enfonce mes ongles dans son bras.
Je ressens déjà les premières vagues de ma jouissance se créer dans mon ventre.
Il entame ses vas et viens.
Brutaux, secs, comme il sait si bien le faire.
Mon sang lui revient à nouveau.
Si j'étais encore humain.
Si je pouvais encore créer des choses aussi futiles que des larmes, en ce moment, je pleurerais tellement ce qu'il me fait est insoutenable.
Je veux qu'il me libère.
C'est trop intense pour un vampire aussi jeune que moi.

-Achèves-moi !!!!

Je viens d'hurler ces paroles.
Il saisit le message et, de sa main droite, il prend enfin mon sexe frustré.
Je rejette ma tête sur son épaule.
Il n'a pas terminé de me prendre mon sang.
Je sais qu'il veut me vider de tout énergie.
Qu'il veut me rendre fou.
Je ne suis pas capable de me défendre.
D'ici quelques instants je le serais encore moins.
Je le déteste et je l'aime, autant que mon propre père.
Il en a conscience et c'est pour cette raison qu'il ne me laissera pas.
Il se met enfin en mouvement pour me satisfaire.
Je pose ma main droite sur la sienne.
Il n'a pas le droit de l'enlever, tant que je n'aurais pas jouis.
Même si mes forces me quittent.
Ses lèvres quittent enfin mon cou, ses mouvements se font plus intenses.
Après de très courtes secondes de ce châtiment, je me libère en hurlant au même moment que lui.

Il se retire et me relâche.
Les blessures que je lui ai infligées sur son bras cicatrisent aussitôt.
Je n'ai plus de force.
Je me laisse tomber.
Il me rattrape et me fais allonger à même le sol.
Je ramène ma main sur ma nuque, là où il m'a mordu.
Les trous sont plus grands que d'habitude.
Il m'embrasse et fais glisser quelques gouttes du sang que l'on n'a pas cessé de se partager au cours de la soirée.
Juste assez pour que je tienne la journée.
Il se relève et enfile rapidement son jean tandis que je me redresse pour le contempler.

-L'homme que j'ai mordu cette nuit était consentant car il ne voulait pas que je m'attaque à sa famille, Frank. Je mourais vraiment de fin et j'ai vu que ton repas avait été bien plus intéressant que le mien.
-Enflure !
-Non, maître. Je commande, tu obéis. Tu es encore très jeune, ta dose de sang n'a pas à être aussi excessive.
-Connard !
-Ecoutes, tu n'as qu'à être plus prudent. Je vais me reposer. Passe une bonne journée.

Je n'arrive plus à penser.
Il disparaît dans le mur face à moi.
Je me laisse lourdement retomber par terre.

Je ne suis qu'un être stupide qui obéit aux demandes de son créateur. Une étoile parmi des milliers d'autres. Inutile et futile, comme la vie.

FIN

O_o Wow........Wow............WOW....Tu a bien fait de prendre Gerard et Frank...Vraiment je suis....Wow...jai rien d'Autre a dire il explique trop bien se que je pense.....

han j'adore les vampires lol
trop bien ta fic

^^ merci! contente que ça vous ait plu =)