Titre : Prison Rape
Auteur : Cherry Muffin
Pairing : Ray/Mikey
Rating : Définitivement NC-17 si ce n'est plus.
Genre : PWP
Warnings : UA. Prison. Viol. Underage sex.
Résumé : Mikey est dans la même cellule que Ray depuis sept mois.
Disclaimer : Je m'appelle Ray Toro et je raconte ma vie. Nen mais franchement, voilà quoi ... j'suis pas eux et j'me fais pas d'argent sur leur dos.
Note : Ecoutez Prison Sex de Tool, ça rocks tout ^^ ouki je
Les autres hurlaient ou rigolaient. La lumière venait de s’éteindre. Depuis sept mois qu’il était là c’était toujours comme ça que ça se passait. Pendant cinq minutes un brouhaha se répandait au travers de la prison jusqu’à ce qu’un maton leur dise de se la fermer sinon c’était le trou. Et s’il y avait une chose encore plus pénible que de partager sa cellule avec un psychopathe c’était bien le trou. La matraque du gardien passa sur les portes et les cris s’arrêtèrent. Enfin. Peut-être que cette nuit il pourrait dormir. De plus d’après les ronflements s’échappant de la couchette au dessus de lui son codétenu n’était pas réveillé. Il n’avait pas à s’inquiéter. Non ?
Mikey, du haut de ses seize ans et demi, se laissa couler une nouvelle fois dans les bras de Morphée.
L’adolescent sentit une main passer sur son visage avant d’accrocher son épaule et de le secouer. Ses cils papillonnèrent quelques instants avant de reconnaître la forme qui se profilait en face de lui. Non, ce n’était pas sa mère qui venait le réveiller pour aller au lycée. C’était Ray. Mikey frissonna en sachant très bien ce que voulait l’homme. Depuis qu’il était arrivé à Canaan l’homme le soumettait à son bon vouloir pour ne pas dire autrement. Il n’en avait rien à foutre qu’il fasse partie de la famillia ou qu’il ne soit pas encore majeur. Tout ce qui comptait pour lui c’était de se vider les couilles entre les cuisses de quelqu’un ou bien au plus profond de sa gorge.
« Aller, ne fais pas ta chochotte chérie, je sais très bien que tu attends ma queue avec impatience.
-Laisses moi tranquille Ray. Je ferai tout ce que tu veux demain matin, je suis trop fatigué là.
-Tu n’as pas compris gamin ! Je te veux maintenant ! Que tu sois d’accord ou non j’en ai rien à battre. J’veux déverser mon jus dans ton trou du cul. »
Le jeune mafieux se laissa faire. Il avait beau avoir le soutient de sa famille, si Ray décidait que son amie la lame de rasoir lui serait bien plus utile qu’en simple coupe poils, il était sûr de finir découpé en petites rondelles. Ray Toro n’était pas surnommé Le Boucher du New Jersey pour rien.
Les mains robustes lui enlevèrent sa chemise orange. Dangereux criminel. Et des lèvres pulpeuses passèrent sur son cou puis sur son torse. Un soupir s’échappa de son aîné.
« Tu es sexy ma poule. Tu vas voir, tu vas aimer mon engin, vingt-trois centimètres rien que pour toi ma belle. »
Les larmes montèrent aux yeux de Mikey. Il avait honte de celui qu’il était devenu. Lui qui avait, malgré son jeune âge, déjà à son actif plusieurs crimes commit de mains froides était à présent une pute pour un psychopathe arracheur de membres.
La bouche se déplaça toujours plus bas laissant des suçons sur la peau blanche du ventre du mineur. A lui, il lui appartenait, comme un mouchoir lui appartenait. Il l’utilisait pour se vider et pour s’essuyer et après le jetait. Mikey était sa propriété et personne, pas même le concerné, n’osait trouver quelque chose à y redire. Tous avaient peur de lui et de ce qu’il pouvait leur faire. Le pantalon de toile que le jeune ne quittait que rarement descendit doucement. Bientôt il passa ses chevilles. Le caleçon blanc qui était fournit lors de l’arrivée ne dura pas bien longtemps en place.
Ray retourna sans douceur le corps qui était au dessous de lui. Il n’avait pas besoin de préliminaire, les préliminaires étaient pour les faibles. Le garçon n’était pas un faible. Il leva les hanches du gamin et lui écarta les cuisses. Il avait malgré la noirceur de la pièce, une vue sur son trou du cul. Le trou du cul qui l’accueillirait.
« Je t’interdis de crier petite pute. Tu ne voudrais pas avoir d’ennuis n’est-ce pas ? »
Mikey secoua sa tête de gauche à droite se préparant mentalement à ce qui allait suivre. Il sentit de la salive couler sur son anus et un doigt entrer en lui pour le lubrifier. De la salive. Comme à chaque fois c’était la seule chose qui aiderait l’autre homme à entrer en lui. Ray lui attrapa les cheveux et Mikey prit son oreiller pour empêcher ses cris de percer à jour. L’homme positionna son gland à l’entrée et poussa d’un coup. Un hurlement étouffé s’échappa de la bouche du soumit et un poing le frappa à la tempe.
« Continue comme ça salope et tu finiras dans la bouffe de la prison.
-Par … par … pardon »
Les larmes coulaient abondamment sur ses joues. Le Boucher aurait pu le marquer au fer rouge que ça lui aurait fait moins mal. Celui-ci n’attendit pas qu’il soit prêt et commença des vas et viens brutaux. Les parois de son anus lancinaient autour du sexe ravageur. Mikey était sûr qu’il saignait, de toute façon le soir d’avant il avait saigné, les blessures qu’il lui infligé ne pouvaient pas s’être soignés aussi rapidement que cela. Les mains de Toro le tenaient fermement, une dans ses cheveux tirait sa tête en arrière, l’autre était agrippé à son bassin. L’homme laissait sortir de sa bouche des gémissements alors que sa queue glissait de plus en plus facilement dans l’étroit foureau. Tout ceci grâce au sang. C’était tellement bon ce qu’il ressentait. Le rectum était serré autour de lui, la chaleur se propageait dans son sexe alors qu’il se pompait grâce au corps du gamin. Il lâcha le bassin du plus jeune et fit claquer sa main sur le postérieur soulevé. Il aurait aimé griffer la chair offerte mais pour une question de sécurité ils devaient avoir les ongles coupés courts. Putain de prison. Au moins il avait encore ses dents et pouvait le mordre. Il attrapa violemment l’épaule du gamin entre ses mâchoires. Voilà qui était mieux. Du sang s’échapper de lui d’un autre endroit que son trou de balle.
Bientôt son orgasme parcourut ses veines jusqu’à arriver à l’endroit concerné. Ray sentit son foutre remonter pour finalement éclater en Mikey. Il s’affala sur le châtain mais ne se retira pas de lui le temps qu’il récupère sa respiration. Qu’est-ce que le p’tit pouvait être sexy sous lui. Il sortit enfin sa queue qui commençait à se ramollir mais fit remonter le postérieur du soumit.
« Je t’interdis de bouger. Si jamais il y a une seule goutte de mon jus ou de sang sur le draps tu peux dire adieux à ta famille. Elle ne te sera d’aucun recours face à ma colère. C’est bien comprit ? »
Mikey gémit sa réponse et l’aîné parcourut la cellule des yeux pour trouver ce dont il avait besoin. Il fallait qu’il matte ce petit arrogant. Qui était-il pour hurler alors qu’il le lui avait interdit ? Un sourire sadique éclaira son visage quand il vit ce qu’il cherchait. Il se leva et attrapa le cendrier en plastique. Il jeta à terre les cendres. Le môme les nettoierait plus tard avec sa langue avant qu’un maton ne remarque les saloperies. Il se rapprocha de son jouet et disposa le récipient entre ses cuisses.
« Baisse toi sale pute !
-Hein ?
-Je t’ai dis de te baisser. Et tu fais ce que je te dis de faire. Tout de suite ! »
Mikey fit ce qui lui était ordonné.
« Bien. Pose ton trou du cul sur le cendrier. Et sans protester. »
Le plus jeune s’assit donc, alors que les larmes continuaient de couler sur son visage d’ange qui cachait autrefois un tout jeune mafieux. Il sentait le foutre et le sang s’écouler de lui en faisant du bruit lorsque sa touchait enfin le fond du cendrier. Il attendit que Le Boucher parle sans bouger.
« Tu n’en as plus d’autre n’est-ce pas ? »
L’adolescent fit non de la tête.
« Aller, tu peux te rallonger. »
Peut-être que son calvaire était terminé pour cette fois ? Apparemment il n’avait même pas le droit de l’espérer car Ray apporta le récipient à ses lèvres fines.
« Bois.
-Non !!!
-Je t’ai dis de boire. Je ne me répèterais pas Mikey. C’est ta punition pour avoir crié. »
Le mafieux ferma les yeux très fort alors qu’il ouvrait sa bouche. Penser à autre chose, surtout penser à autre chose. Il avala le mélange avec difficulté, c’était visqueux, ça accrochait sa bouche et puis c’était du sperme et du sang, c’était peut-être un mélange contaminé par une saloperie mais de toute façon depuis le temps qu’il … non, il fallait qu’il arrête de penser à ça, c’était si dégouttant qu’il se demandait si un jour il pourrait se regarder de nouveau dans la glace. Finalement Le Boucher le laissa tranquille.
« Tu peux dormir maintenant. Rêves bien de moi. »
Mikey se décontracta alors que son matelas se soulevait. Il allait pouvoir dormir jusqu’au petit matin où Ray le réveillerait et où une nouvelle journée commencerait.