Pairing : Gerard Way/Frank Iero
Genre : PWP
Alerte : Slash, et pwp donc faut pas s'attendre à une graaande histoire x)
Résumé : Qu'est-ce qu'il se passe quand Gerard n'arrive pas à dormir alors qu'il a la trique dans le tourbus ? Réonse plus bas
Droit d'auteur : cette histoire sort de mon cerveau tordu, ses hommes sont à eux-même, je ne suis pas Gerard XD et donc je raconte pas la vérité !
Compter les moutons... compter les moutons, ne pas penser à la bosse dans mon pantalon. Un mouton, deux moutons, trois moutons, quatre boutons... MOUTONS, imbécile ! Je me retourne encore une fois dans ma couchette et dévisage le mur. C'est quoi cette tâche ? On dirait du spe... NON ! Aaaah, j'ai l'air d'un obsédé, je ne suis pas un obsédé du sexe. Juste que j'ai pas eu le temps de soulager la pression... ouais, je bande dans ma couchette, et alors ? Je suis un homme comme les autres. Chanteur, certes, mais un homme quand même.
Haaaaaan, ça fait mal... Si je me lève et que je vais discrétos dans la « salle de bain » ça devrait aller après. Je vais pas dégueulasser mes draps, encore une fois. Ouais, j'ai souvent la trique en allant me coucher... mais ça gêne qui ? Pas Frank en tout cas. Sauf que Monsieur dort. Monsieur doit avoir ses, je-ne-sais-combien d'heure de sommeil et comme demain on doit se lever tôt, moi je peux crever avec mon érection !
Brefons, je vais pas pouvoir m'endormir avec ça.
Premièrement, se retourner vers mon rideau, l'ouvrir et vérifier que tout le monde est dans les bras de Morphée. Au premier regard... ça m'a l'air d'être le cas. En avant.
Deuxièmement, poser les pieds sur le sol, éviter de se prendre la couchette du dessus pour ne pas réveiller Bob et se rendre discrètement vers la salle de bain.
Me voilà devant la porte ! Mission presque accomplie. Faut l'ouvrir sans la faire grincer... Inspiration profonde... Une main sur la poignée, l'autre sur le pans de bois. Inspirer. Enclencher la poignée... Qu'est-ce que ?! Nooon ! Elle est occupée ! À minuit, il y a quelqu'un dans cette putain de pièce !
Bon... Frappons, ne pas oublier de chuchoter pour ne pas réveiller les autres.
- C'est occupé !
- Frankie ?!
- Gee ?
Il ouvre, torse-nu, en boxer, avec aussi un léger problème. Je ne peux pas m'empêcher de sourire alors qu'il me presse d'entrer à cause de la lumière.
- Je croyais qu'il te fallait un nombre précis d'heure de sommeil pour être en forme !
- C'est le cas... mais comme tu peux le voir, j'ai fais de trop beaux rêves.
- Incorrigible...
- Et toi aussi.
Il me pousse lentement contre la porte et prend possession de mes lèvres. Je l'enlace et caresse son dos. Je le sens frissonner sous mes doigts... Sa langue finit par rencontrer la mienne sous nos gémissements à peine retenue. Aya, on va finir par réveiller tout le monde ! Hmm, tant pis. Ses lèvres glissent sur ma joue droite puis mon cou. Son souffle me chatouille... mais sa bouche est tellement douce que j'en oublie de rire. Ce mec est parfait... Comment ça je me contredit ? J'ai jamais dis qu'il était imparfait, juste qu'il préfère dormir par moment plutôt que de s'occuper de moi... je ne suis pas capricieux.
Mes mains glissent jusqu'à la lisière de son boxer alors qu'il suce ma peau.
Un futur nouveau suçon... les fans vont finir par vraiment se poser des questions, il pense jamais aux conséquences de ses actes ! Et je ne suis pas en train de me plaindre... je constate. Je l'aime mon Frankie.
Je caresse ses fesses du bout des doigts avant de les prendre soudainement à pleine mains. Ce qui le surprend... il arrête de torturer mon cou et plonge son regard dans le mien. Je me contente de lui faire un sourire carnassier avant de l'embrasser. Ses doigts se faufilent, enfin, sous mon t-shirt pendant que je fais descendre comme je peux le seul morceau de tissus qu'il porte.
- Fallait me le dire si c'était si urgent mon coeur !
- Ça se voit pas assez ?
- Mmh, j'ai tendance à oublier qu'elle est si petite.
Ah non ! Il va pas recommencer avec ça ! Je le repousse brutalement alors qu'il est mort de rire, mais à cause de son caleçon autour de ses genoux, il se rétame par terre, manquant de justesse l'évier.
- T'as de la chance d'être un nain tout cours !
Il se redresse légèrement mais je me glisse entre ses jambes de manière féline pour l'empêcher de se lever. Nos visages sont séparés de quelques millimètres et il meure d'envie de m'embrasser, mais il sait que là je ne le laisserait pas faire ! Un immense sourire pousse sur mes lèvres et je me penche vers son oreille gauche. Il veut jouer à ça ? Moi ça ne me gêne pas, c'est lui qui prendra toutes les plaintes des autres, nah !
- Tu vas voir si elle est si petite quand tu l'auras fourré où je pense...
Sa respiration s'accélère d'un coup. Dans le sens, qu'il est excité... Oui, Frank aime ça. La vulgarité. Sur scène je sais qu'il est au summum de l'excitation. Tous les soirs. Chaque concert est comme une torture pour nous deux. Même si on sait qu'après on se soulage mutuellement. C'est surtout ça qui nous tue je pense.
- Je suis pas sûr d'avoir compris... murmure-t-il.
Mon sourire s'élargit. Ma main se saisit brusquement de son sexe sous ses gémissements. Inspirer près de son oreille le fait frissonner, c'est donc ce que je fais dans les moments où je joue le dominant total.
- Tu vas bien voir si ma queue est si petite quand tu l'auras dans ton p'tit cul.
Il gémit encore d'anticipation. Je fais un effort surhumain pour ne pas le suivre dans ses bruits. Je dois montrer le bon exemple !
- Gee... s'il te plaît...
C'est pas tous les jours que le son de sa voix est si suppliant. Est-ce que j'en profite ?
- Qu'est-ce que tu veux ? dis-je en le regardant dans les yeux avec une lueur de défis.
Il lèche ses lèvres en détournant les yeux, le rouge aux joues. Nan, si tu ne le dis pas, je me contenterais de ma main ! Je pense qu'il l'a compris depuis qu'on a commencé ce jeu...
- Prends-moi.
C'est la première fois qu'il le dit aussi vite ! Trop facile mais... Je relâche son sexe, lui arrachant un soupir frustré et promène ma main sur son torse. Je joue avec un de ses tétons du bout des doigts et commence à taquiner l'autre avec ma langue. Je le prend entre mes lèvres pour le suçoter puis le fait rouler entre mes dents. Ses plaintes deviennent des gémissements... et mon érection devient trois fois plus douloureuse. Rappel à l'ordre de la visite nocturne dans la « salle de bain ».
Je laisse ses boutons de chairs et retourne à ses lèvres. Je le fais s'allonger à même le sol pour qu'il arrête de s'appuyer sur ses avant-bras... Et oui, il n'est pas magicien et le mur est un peu plus loin.
Je prends ses mains et les amènes sur mes fesses encore habillés. Il comprend vite le message et m'aide à retirer mon t-shirt, puis fais glisser mon pantalon et enfin mon boxer. Je m'allonge de tout mon long sur lui. J'aime avoir sa peau contre la mienne... rien que comme ça, j'ai l'impression de ne faire qu'un avec lui. Ça pu le romantisme... Ça arrive à tout le monde !
C'est surtout que de sentir, ou de tout simplement plaquer nos érections, c'est une sensation bien particulière et unique. Du genre à électriser tous ses membres mais de vouloir le ressentir encore et toujours. J'inspire profondément près de sa nuque avant d'y poser de léger baisers. Ses mains se promènent à nouveau dans mon dos et descendent en dessinant d'étranges arabesques. Il arrive sur mes fesses qu'ils caressent avec plus d'intensité.
J'ai compris le message ! Aucun romantisme celui-là... attends un peu. Juste un tout petit peu. Tu m'as fais un suçon que je devrais cacher pour l'interview, on va dire donnant, donnant !
Mes dents s'enfoncent dans sa peau sous ses gémissements. Très fort en plus. Je suis certain qu'au moins une personne a dû se réveiller avec ce vacarme ! C'est pas malin Frankie...
Je lèche sa chair meurtrie et me redresse légèrement pour voir son visage. Oh, une larme s'est échappée de son oeil. J'embrasse sa joue pour la récupérer puis pose mes lèvres sur les siennes.
Euh, il me semble qu'il y a des présos dans un des tiroirs près de l'évier... heureusement que je ne suis pas un nain et que mon bras peut les atteindre. Troisième tiroir, voilà le sésame !
Je m'agenouille et lui donne la pochette argentée. Il se redresse à contre-coeur et l'ouvre. Je caresse sa tête et joue avec la pointe de ses cheveux alors qu'il met le préservatif sur mon sexe. On s'embrasse à nouveau puis je l'invite à s'allonger à nouveau.
Je me positionne à son entrée sensible en accrochant mon regard au sien. Que du bonheur... pas besoin de préparation après ce qu'il a dit tout à l'heure.
- Prêt à réveiller tout le tourbus ?
- Sans problème !
J'inspire profondément en introduisant mon membre. Il pousse un hurlement en se cabrant violemment. Je me penche sur lui et pose à nouveau mes lèvres sur les siennes. Je lui dit quelques mots doux, sois-disant apaisant et ne fais pas le moindre mouvement en lui. J'attends qu'il reprenne son souffle pour continuer.
Je l'aime, vraiment, mais il faut bien lui faire comprendre que, par moment, ses blagues sont pas drôles ! Et c'est pas la première fois qu'il me dit que j'en ai une p'tite. Je me souviens que, l'autre fois, pour le punir c'était abstention totale pendant deux semaines. Sur scène je le chauffait d'avantage, acceptait ses baisers mais sans plus. Moi je n'ai pas souffert et c'est Bert qui en était ravit.
Souvenirs, souvenirs.
- Gee, vas-y...
Je l'embrasse à nouveau et entâmes un léger, très léger mouvement. Il grimace encore. Il faut y aller doucement, doucement... Ça m'apprendra à vouloir le punir, je sais. Lentement, ses traits de douleurs s'adoucissent pour devenir ceux du plaisir.
- On devait réveiller le tourbus, tu t'en souviens ? dis-je dans un souffle.
Il en faut pas plus pour qu'il lâche ses gémissements. Je ris et en fait de même alors que mes vas et viens se font plus rapide. Ses mains se crispent sur mes avants-bras. Ma peau claque contre la sienne à chacun de mes mouvements et je sens la jouissance se créer dans mon bas-ventre. Je m'occuperais bien de lui s'il était pas en train de s'aggriper autant à mes bras. Et je suis pas contorsionniste.
J'ai de plus en plus de mal à coordonner mes vas et viens. Nos cris sont de plus en plus bruyant... au bout de quelques secondes, je pousse enfin l'ultime râle de plaisir en même temps que mon Frankie.
Je me laisse tomber sur son torse humidifié par sa transpiration et son sperme. Ses bras m'entourent alors que l'on reprends difficilement nos souffles.
- Je t'aime le nain.
- Je t'aime aussi.
Je me retire de lui pour me débarrasser du préservatif et récupérer mes vêtements. Là j'ai qu'une seule envie : dormir... me laverais demain. Je me relève et aide Frank à en faire de même. Il remet son boxer et moi aussi. Pas besoin du t-shirt puisqu'il va dormir avec moi ! D'ailleurs...
- Pourquoi tu dors avec moi que quand on fait l'amour ?
- D'après toi ?
- Chai pas ?
- Pour le faire plus souvent.
- Espèce d'obsédé !
- Pas plus que toi, p'tite bite !
Je sers les poings sous mon linge en lui jetant un vil regard.
- Tu dormiras par terre ! Le nain !
Puis j'ouvre la porte d'un vif mouvement et me retrouve nez à nez avec mon frère. A son regard, je sais que, premièrement, on l'a réveillé, ça c'était le but. Deuxièmement, il reluque la tâche de sperme qui orne mon torse. Troisièmement, il a quand même envie de rire. Il aurait quand même pas entendu tout ça...
- Quoi ?
- P'tite bite ? répond-il sur un ton moqueur.
- Raaah la ferme ! J'vais pioncer !
Pas la peine de refaire la mission secrète du silence pour retourner dans mon lit. Je ferme rageusement le rideau et me met de dos à lui en me glissant sous mes draps. Par moment, la douceur de Bert me manque vraiment. Lui au moins il ne me jugeait pas à tout va. Encore moins quand on faisait l'amour !
- Gee ?
- Je t'ai dis que tu dormiras pas avec moi ce soir.
- S'il te plaît ?
- Non.
- Pardonnes-moi ?
- Non.
- Mon coeur, s'il te plaît. Suis désolé.
Et il ouvre le rideau pour se glisser dans mon dos. Il caresse lentement mon épaule et embrasse ma nuque.
- Chui désolé, je voulais pas te blesser.
- Vas dire ça à Mikey.
- Gerard...
Je sais pas si je dois le laisser là où pas. D'un côté il me tiendra chaud... et oui, je l'aime quand même, encore et toujours.
- Bonne nuit Frank.
- Je peux rester ?
- Oui.
J'entends son sublime sourire alors qu'il s'installe sous mes draps et se colle d'avantage à moi.
- Gerard, je t'aime, je suis désolé.
Son ton est plus que sincère... Je me retourne et le prends dans mes bras.
- Je t'aime aussi. Tu recommence plus, hein ?
- Promis !
Pour sceller sa promesse, il m'embrasse à pleine bouche en s'allongeant sur moi, ce qui me fait gémir.
- Hey les gars, une fois ça suffit, merde ! lance Bob au dessus de nous.
- Bande d'obsédé ! continues Ray.
Mikey vient jusqu'à notre couchette pour nous demander de nous calmer. On finit par capituler.
- Tu vois que t'aurais dû dormir par terre !
~Fin~
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Lun 26 Nov - 14:10
merci merci ! Je posterais une autre de mes fics dans la semaine, promis ! Je dois avoi d'autre pwp qui traînent... mais avec 30 stm. *toute happy*